• Berceuse didactique

    (pour enseigner l'alphabet aux enfants)

     

    A mama ya jombwa… a a a

    Muna e jea mbembe… b b b

    A kwedi o wase… c c c

    A dosedi mwende… a b c d

     

    Traduction: maman vient voir, l’enfant pleure, il est tombé (par terre), il s’est écorché le pied.

     

    Si vous vous souvenez de cette berceuse avec toute les lettres de l’alphabet, merci  de bien vouloir nous la faire parvenir.


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  • Lende
    (Kalati: Nimele Bolo, Dipapa: 93)


    Lo si bola mba to loko,
    Mba nd'a ben biño bato.
    O beboko na mangea,
    na si bi pon malinga.

    Bonamangolo ba peme,
    popo yese i weme !
    Nja nu mingilane pia
    nde a dimbea mbia ?

    Biño pandise nde ngwaban,
    lo dimbeye yi ngwasan
    i mabelabe ná mbanga,
    mbol'a tiki o ñunga.

    Sesa to kotin o buma,
    nde i si poi te mula
    ma mawelebe o ponji,
    ma pelebe o medi.

    Mukwaledi e nde lende,
    bo bwele ba dingele;
    mbwang mañu ma bonabato
    mpete o bonamambo.

     

    Kala.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • Nyango'am
    (Kalati: Nimele Bolo, dipapa: 199-200)


    1- Nja nangamenno soma,
    na domse te na Loba,
    Oñola ndolo nindene,
    ni boli mba na teme ?
    Yeye nde e nu moto.

    2- Nja nu sebe mba o maa,
    nu nengele mba bwanga,
    ke na woli, na bobi,
    na miso ma mulombi ?
    Yeye nde e nu moto.

    3- Nj'a ñongise mba dibe,
    nu loki pe mba to ne,
    o pond'a njai na ñongi,
    ke na salo ka ngongi ?

    Yeye nde e nu moto.

    4- Nja nu salise ses'am,
    nu timbise mba mutam,
    ñe mba mot'a mulema,
    natee mwenen mu dima ?
    Yeye nde e nu moto.

     

    Kala ña mboko m'ekwali.<o:p></o:p>


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  • Pai

    Pai

    (Kalati: nimele bolo, Dipapa: 87)

     


    1 - Na titi mwen to wuma,
    na boki, ne o mbumwa;
    myango ma bonabato
    mba na malangwa mo.

    2 - Noko bia eyidi;
    mubuke-mba a titi.
    Na yabe nde na bope,
    bwele bo tondobe.

    3 - Tatan ne nde o munja,
    bodu te na mabusa;
    o myopi to o tube
    na si masuba be.

    4 - Na bi jita la mambo
    di timbise mba bwambo;
    myango ma kwang to peña
    mi titi mba mweña.

    5 - Ne nde ka yomayoma
    ba yokino pe koma.
    Nja nu si bi edub'am ?
    Pai nde ñe dina lam.

     

    Kala.<o:p></o:p>


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  • KEMA
    (Nimèlè Bôlô, dipapa 106)


    1. Dina lam ná kema,
    na i mawo o bwema.

    Ne bowan na jangwa,
    to nja a bi langwa.

    2. Na yabane moto,
    na tondi pe loko;
    na bi dinga mondo
    o to njik'ebongo.

    3. Bepuma na mbasi
    na mada na wasi;
    o pond'am nya njai
    to diwo na si sai.

    4. Na bi mulandako
    omony'a mikanjo.
    Na ben pon so dina
    oteten a bana.

     

    Kala ña mboko m'ekwali.


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  •  
    So i mende boyo biño milomba : Ne vois tu pas que les antilopes sabotent un champ parent qui nourrit toute la maisonnée? Que fais tu ? qu'est ce qui te nourriras ?
     
    Moto a manane nde nu ñe na nu buki mo. To nika musingedi a bi no na Loba a buki mo ngiña, a m'anane te nde mo. A titi na a bola ñai nipepe, nika e buki mo. Dongo la ngedi, a ma tomba na esimo, ke ongele nà a weli kwata soso' a basangedi, bana ba Sango. Nde musingedi a mende so tombwane e ? Nja nu buki Loba ngiña? To moto e! Di ben mutated'a bwam.
     
     
    ÊTRE SOI MÊME, maître de sa personne<o:p></o:p>
    Malea : lambo te na ponda, wulututu e ma lousane lemba, en d'autres termes, quelqu'un qui s'en prend   intempestivement à vous, vous envie en réalité, il  vous convoite indubitablement quelque chose, restez donc comme vous êtes, c'est la meilleure réponse à lui donner, car avec un peu de subtilité, vous verrez qu'il ne cesse de vous singer tel un macaque. Quoi que vous fassiez, quelques instants après, vous le verrez faire la même chose, tout en dénigrant ce que vous faites, pour ne pas citer la source d'inspiration,  comme pour signifier qu'il ne vous a pas copié. Il en restera toujours quelque chose!<o:p></o:p>
     
     
    - Regarde la paille dans tes yeux avant de pointer ton voisin du doigt. Saloti<o:p></o:p>
    - C'est la vieille marmite qui fait la bonne soupe<o:p></o:p>
    - Si tu réchauffes le serpent, il te mord un fois que tu as fini<o:p></o:p>
    - tout flatteur vit au dépend de celui qui l'écoute
    -Attend plus de toi même que tu ne peux attendre des autres<o:p></o:p>

     



    LOUP ET BERGER

                Un loup rempli d'humanité
                (S'il en est de tels dans le monde)
                Fit un jour sur sa cruauté,
    Quoiqu'il ne l'exerçât que par nécessité,
                Une réflexion profonde.
    «Je suis haï, dit-il ; et de qui ? d'un chacun.
                Le loup est l'ennemi commun :
    Chiens, chasseurs, villageois, s'assemblent pour sa perte ;
    Jupiter est là-haut étourdi de leurs cris :
    C'est par là que de loups l'Angleterre est déserte :

                On y mit notre tête à prix.
                Il n'est hobereau qui ne fasse

                Contre nous tels bans publier ;
                Il n'est marmot osant crier
    Que du loup aussitôt sa mère ne menace.

                Le tout pour un âne rogneux,
    Pour un mouton pourri, pour quelque chien hargneux,
                Dont j'aurai passé mon envie.
    Eh bien! ne mangeons plus de chose ayant eu vie :
    Paissons l'herbe, broutons, mourons de faim plutôt.
                Est-ce une chose si cruelle ?
    Vaut-il mieux s'attirer la haine universelle ? »
    Disant ces mots, il vit des bergers, pour leur rôt,

              Mangeants un agneau cuit en broche.
                « Oh ! oh ! dit-il, je me reproche
    Le sang de cette gent: voilà ses gardiens
                S'en repaissant eux et leurs chiens ;
                Et moi, loup, j'en ferai scrupule ?
    Non, par tous les dieux ! non, je serais ridicule :
              Thibault l'agnelet passera,

                Sans qu'à la broche je le mette ;
    Et non seulement lui, mais la mère qu'il tette,
                Et le père qui l'engendrera. »
      Ce loup avait raison. Est-il dit qu'on nous voie

                Faire festin de toute proie,
    Manger les animaux ; et nous les réduirons
    Aux mets de l'âge d'or autant que nous pourrons ?
                Ils n'auront ni croc ni marmite ?

                Bergers, bergers ! le loup n'a tort
                Que quand il n'est pas le plus fort :
                Voulez-vous qu'il vive en ermite?

    Le Loup devenu Berger (Livre III - Fable 3)

    Un loup, qui commençait d'avoir petite part 
    Aux brebis de son voisinage, 
    Crut qu'il fallait s'aider de la peau du renard, 
    Et faire un nouveau personnage. 
    Il s'habille en berger, endosse un hoqueton, 
    Fait sa houlette d'un bâton, 
    Sans oublier la cornemuse. 
    Pour pousser jusqu'au bout la ruse, 
    Il aurait volontiers écrit sur son chapeau: 
    «C'est moi qui suis Guillot, berger de ce troupeau.» 
    Sa personne étant ainsi faite, 
    Et ses pieds de devant posés sur sa houlette, 
    Guillot le sycophante approche doucement. 
    Guillot, le vrai Guillot, étendu sur l'herbette, 
    Dormait alors profondément; 
    Son chien dormait aussi, comme aussi sa musette: 
    La plupart des brebis dormaient pareillement. 
    L'hypocrite les laissa faire; 
    Et pour pouvoir mener vers son fort les brebis, 
    Il voulut ajouter la parole aux habits, 
    Chose qu'il croyait nécessaire. 
    Mais cela gâta son affaire, 
    Il ne put du pasteur contrefaire la voix. 
    Le ton dont il parla fit retentir les bois, 
    Et découvrit tout le mystère. 
    Chacun se réveille à ce son, 
    Les brebis, le chien, le garçon. 
    Le pauvre loup dans cet esclandre, 
    Empêché par son hoqueton, 
    Ne put ni fuir, ni se défendre. 
    Toujours par quelque endroit fourbes se laissent prendre 
    Quiconque est loup agisse en loup: 
    C'est le plus certain de beaucoup 

     


     

    Les Loups et les Brebis


    Après mille ans et plus de guerre déclarée,
    Les Loups firent la paix avecque les Brebis.
    C'était apparemment le bien des deux partis ;
    Car si les Loups mangeaient mainte bête égarée,
    Les Bergers de leur peau se faisaient maints habits.
    Jamais de liberté, ni pour les pâturages,
    Ni d'autre part pour les carnages :
    Ils ne pouvaient jouir qu'en tremblant de leurs biens.
    La paix se conclut donc : on donne des otages ;
    Les Loups, leurs Louveteaux ; et les Brebis, leurs
    Chiens.
    L'échange en étant fait aux formes ordinaires
    Et réglé par des Commissaires,
    Au bout de quelque temps que Messieurs les Louvats
    Se virent Loups parfaits et friands de tuerie,
    lls vous prennent le temps que dans la Bergerie
    Messieurs les Bergers n'étaient pas,
    Etranglent la moitié des Agneaux les plus gras,
    Les emportent aux dents, dans les bois se retirent.
    Ils avaient averti leurs gens secrètement.
    Les Chiens, qui, sur leur foi, reposaient sûrement,
    Furent étranglés en dormant :
    Cela fut sitôt fait qu'à peine ils le sentirent.
    Tout fut mis en morceaux ; un seul n'en échappa.
    Nous pouvons conclure de là
    Qu'il faut faire aux méchants guerre continuelle.
    La paix est fort bonne de soi,
    J'en conviens ; mais de quoi sert-elle
    Avec des ennemis sans foi ?

     


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  • Ndima ńe nde diboa

     

    Ndima ńe nde ebe̱yed’a moto nu si me̱ne̱. Nde ba yo̱ki pe̱ o kwala na moto e ndima yete̱na a si ma so̱ntane̱ mambo mō̱ to̱ ke̱ bede̱mo bao be diwengisan na ba jita la bato. Nika nde ba yo̱kino̱ o kwalane̱ moto ńa we̱ o ekomb’a eyidi o po̱ o mundi mupe̱pe̱ na e ndima. Njo̱m’a nika ńe nde na bede̱mo to̱ mabola mao be diwengisan na nje baje̱ o mundi a po̱ino̱ ba m’engane̱no̱ mo̱. Mulelem pe̱ na moto nu s’okwo kalati to̱ nu si ta o esukulu, yete̱na a si so̱ntane̱ lambo, ba yo̱ki o kwala na e ndima.

     

    bato ba ndima <o:p></o:p>

    « Ndima ńe nde diboa », mun munia mu ben betukwedi ńai iba : diboa di si ma po̱so̱ wonja to̱ mukom ; bato be̱̱se̱ bena ba kasea mo̱. O dine̱ je̱ne̱ pe̱, diboa la bo̱ yete̱na di kusi dibongo la bwam. Ońola nika mot’a ndima o mbad’a bede̱mo pe̱ e na a tukwa ye te̱ na a be̱n ńo̱ngi.<o:p></o:p>

    Ponda bakala ba po̱ino̱ o bekombo basu ba Afrika, njo̱m ba tano̱ ba bola e ta nde na di ta ndima ońola nika nde, ka kwala labu, ba po̱ino̱ o tele̱ biso̱ miso̱, o lē̱ biso̱ muaye.<o:p></o:p>

    Nika e ta nde e pula o kwala na o je̱ne̱ labu, longe̱ di tano̱ di be̱ne̱ kwaṅ di si ta po̱ mulemlem mwa dikala na labu. O miso̱ mabu di ta di dia ndima. Biana ekombo’asu e ma te̱me̱ wonja, jita lasu na basango basu di ta jo̱nge̱le̱ na ekombo’asu e te̱m te̱ wonja e me̱nde̱ pe̱ o po̱ mulemlem ma dikala ka bene̱ bekombo sepo̱̱n ka bekombo ba mbe̱ng’a bakala.<o:p></o:p>

    Mańaka m’asu me nde na ombusa muane̱i ma mbu na lambo ben bekombo be te̱mno̱ wonja, o mulopo ná longe̱ lasu di tukwe ńai tue na ndenge̱ ba ma wo̱ye̱no̱, ba ma bata nde.<o:p></o:p>

    O mulopo na ekombo’asu yale o boso, e ma bata nde o timba ombusa ońola ndima na ngolowake̱ ńa badie̱le̱ ekombo na mikwandedi mabu.<o:p></o:p>

    Seto̱ bwam ba ekombo nde ba ma wasano̱ to ba ma boleano̱. Muse̱ṅ ba be̱nno̱ to̱ tombwane̱ labu o to̱ nje ba mukeano̱ nde ye babo̱ mweńa. O nika nde ndima ńeno̱ diboa di mabole̱ biso̱ mbo̱lo̱n na mbeu a ńolo.

     

    <o:p></o:p> 

    Ben betiledi be ma wéa nde biso̱  o Duala-Duala Oline Open Hub (Dooh)<o:p></o:p>

    Ombwa makm o musinga (liens)


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  • Na nanga ndoti (na loti) ña Kingu'a Martin Lutel :

    I have e dream in duala language – Short part : Martin Luther King

    (traduit par myself)

     

     A makom mam ma ndolo, o nin wenge na ma langwea biño ninka ná di angamen o jembe mañolo masu o jana oñola mitusan ma wenge na kiele. Ndé na nanga ndoti. Ni ndoti e tingame na mbale o ndot’a Amerika.

     “Na ma nanga ndoti na buña bo, yen ekombo e teme moñ, e dangwe pe bupisane na beyoto bao : yen eyala ye mbale, ná bato bese ba wekabe nde kapo »

    “Na ma nanga ndoti ná o midongo mi m’olě ma Georgia, Mikoma na Babenedi babu ba wele ja mwemba o tebedi po ka bonañango”

    “Na ma nanga ndoti ná buña bo, to mun mundi mwa Misisipia, mwená mwe nde eya’a muka mwa bobe na bebandedi, e mende jatele, e timba eyond’a wonja na muka ma bwam.”

    “Na ma nanga ndoti ná bana bam banei ba mende ja buña bo, o mboa ñena ba si mendeno o kaise babo oñola misono mwabu mw’eyobo, nde oñola bedemo babu. Na nanga nde nin ndoti wenge !!”

    “Na ma nanga ndoti ná, o Alabama wone, na bato babu ba njo na ndando, na Gobina ñao ñena bepopo be ma busiseno nde byala ba bobe ponda te; buña bo, natena o Alabama wone, Ngus’a bana ba bome na bito ba mindo ba mende kwene maá na ngus’a bana ba bome na bito ba bakala, ka bonañango.”

    Na ma nanga ndoti ná mbesan te mi londisabe, mukondoki na mudongo te mu sibisabe, mindi ma njo te mi timbe mindi ma bwam, nje e pengame pe e tesebe na sim. Ngiña na Sesa ña Sango yasabe, byobo bese pe b’ene jongise lao mwemba.”

     

    @Tombele la Ekwal'a Martin Lutel na LILY (Ya Jokwa Duala).


    French:  

     « Je vous le dis aujourd'hui, mes amis, bien que nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve profondément enraciné dans le rêve américain.

    « Je rêve qu'un jour, cette nation se lève et vive sous le véritable sens de son credo : “Nous tenons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes ont été créés égaux.”

    « Je rêve qu'un jour, sur les collines rouges de la Géorgie, les fils des esclaves et les fils des propriétaires d'esclaves puissent s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.

    « Je rêve qu'un jour, même l'État du Mississippi, désert étouffant d'injustice et d'oppression, soit transformé en une oasis de liberté et de justice.

    « Je rêve que mes quatre jeunes enfants habitent un jour une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais à la mesure de leur caractère. Je fais ce rêve aujourd'hui !!

    « Je rêve qu'un jour juste là-bas en Alabama, avec ses racistes vicieux, avec son gouverneur qui a les lèvres dégoulinantes des mots interposition et annulation; un jour juste là-bas en Alabama les petits garçons noirs et les petites filles noires puissent joindre leurs mains avec les petits garçons blancs et les petites filles blanches, comme frères et sœurs.

    « Je rêve qu'un jour chaque vallée soit glorifiée, que chaque colline et chaque montagne soit aplanie, que les endroits rudes soient transformées en plaines, que les endroits tortueux soient redressés, que la gloire du Seigneur soit révélée et que tous les vivants le voient tous ensemble.»

    English:  

    Le titre du discours I have a dream vient de son passage le plus connu :

    « I say to you today, my friends, so even though we face the difficulties of today and tomorrow, I still have a dream. It is a dream deeply rooted in the American dream.

    I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident: that all men are created equal.”

    I have a dream that one day on the red hills of Georgia the sons of former slaves and the sons of former slave owners will be able to sit down together at a table of brotherhood.

    I have a dream that one day even the state of Mississippi, a desert state, sweltering with the heat of injustice and oppression, will be transformed into an oasis of freedom and justice.

    I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character. I have a dream today !!

    I have a dream that one day down in Alabama, with its vicious racists, with its governor having his lips dripping with the words of interposition and nullification; one day right down in Alabama little black boys and black girls will be able to join hands with little white boys and white girls as sisters and brothers.

    I have a dream today.

    I have a dream that one day every valley shall be exalted, every hill and mountain shall be made low, the rough places will be made plains and the crooked places will be made straight and the glory of the Lord shall be revealed and all flesh shall see it together.  »


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  • <o:p> </o:p>A Loba njom<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A Loba oh njomi e<o:p></o:p>

    A Loba lami oh, njomi é !<o:p></o:p>

    A Loba oh njomi e<o:p></o:p>

    A Loba lami oh, njomi é !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    O mwese to o bulu

    O muñenge to o ndutu<o:p></o:p>

    O bwam to o bobe<o:p></o:p>

    Dina la Loba nde<o:p></o:p>

    Ebanja a bi mese<o:p></o:p>

    Mo mukaised'a bese<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A Loba oh njomi e<o:p></o:p>

    A Loba lami oh, njomi é !<o:p></o:p>

    A Loba oh njomi e<o:p></o:p>

    A Loba lami oh, njomi é !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    _______________________<o:p></o:p>

    Le jour comme la nuit

    Dans la joie comme dans la peine<o:p></o:p>

    Dans la bonheur  comme dans le malheur<o:p></o:p>

    On ne s’en remet qu’à Dieu<o:p></o:p>

    Il sait tout<o:p></o:p>


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  • Musoloki

     

    O ponda na ta no n'endea

    To moto a si ta mba bèbè

    To ba n'ongèlèno na be nde bam

     


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  • Citation d’ici de là et d’ailleurs<o:p></o:p>

    citations françaises

     

    Mba  & myself : Ngiñ'a mulema e ma mama midongo<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    "Les absents ont toujours tort."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    "Qui donne ne doit jamais s'en souvenir, qui reçoit ne doit jamais l'oublier."<o:p></o:p>

      <o:p></o:p>

    Baudelaire : "On ne doit jamais juger les gens d'après leur fréquentation, Judas, par exemple, avait des amis irréprochables" <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Jean de La Fontaine :"Rien n'est plus dangereux qu'un ignorant ami;<o:p></o:p>

    Mieux vaudrait un sage ennemi."

    <o:p>"rien ne sert de courir, mieux vaut partir à point"</o:p>

    <o:p> </o:p>

    Shakespeare : "Ne soyer ni un emprunteur, ni un prêteur; Car souvent on perd le prêt et l'ami, Et l'emprunt..."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cicéron :  "On voit qu'un ami est sûr quand notre situation ne l'est pas."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Proverbe : "Dans l'amitié ménage une petite place pour la brouille, et dans la brouille une autre pour la réconciliation."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Proverbe : "On connaît une bonne source dans la sécheresse et un bon ami dans l'adversité."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Proverbe : "Souvent on oublie un bienfait parce que le bienfaiteur s'en souvient."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Lâotse : "Paie le mal avec la justice, et la bonté avec la bonté."<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Malesherbes : "Pour vivre heureux, vivons caché."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Oscar Wilde "Les gens bien élevés contredisent les autres, les gens sages se contredisent eux-mêmes."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Maréchal Foch<o:p></o:p>

    "Il n'y a pas d'homme cultivé. Il n'y a que des hommes qui se cultivent."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Beaumarchais "Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose."  

                     <o:p></o:p>

    <o:p> Racine."J'embrasse mon rival, mais c'est pour l'étouffer."</o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    Nicolas Boileau "Avant donc que d'écrire, apprenez à penser."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Voltaire " L'éducation développe les facultés, mais ne les crée pas."

    <o:p></o:p>

    Ernest Jaubert "L'égalité entre les hommes est une règle qui ne compte que des exceptions."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Eugène Labiche. "Un égoïste est incapable d'aimer un ami. Mais il ne peut pas se passer d'amis: il ne s'aimerait jamais assez à lui tout seul."<o:p></o:p>

            <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    sagesse Persane : "Qui parle sème, qui écoute récolte."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Corneille, Le cid.: "A vaincre sans péril on triomphe sans gloire."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     <o:p></o:p>

    Francis Blanche : "A quoi servirait d'être victorieux, si l'on n'était plus vivant pour en profiter ?..."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Robert De Saint-jean "La paix est le temps où l'on dit des bêtises, la guerre le temps où on les paie."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Corneille " Et le feu mal éteint est bientôt rallumé. Le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre. "

    La Rochefoucauld " Lorsque notre haine est trop vive, elle nous met au-dessous de ceux que nous haïssons. "

    <o:p></o:p>

    Marie d'Agoult " Le pire de certaines haines, c'est qu'elles sont si viles et rampantes qu'il faut se baisser pour les combattre. "

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Sagesse persanne "A l'auberge de la décision, les gens dorment bien."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    Maxime mandchoue "La honte n'est pas d'être inférieur à l'adversaire c'est d'être inférieur à soi-même."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    sourire "Le sourire que tu envoies revient vers toi."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Beaumarchais."Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Proverbe "On n'est jamais puni pour avoir fait mourir de rire."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nicolas Boileau "L'ignorance toujours est prête à s'admirer."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Jean de La Fontaine : "D'un magistrat ignorant c'est la robe qu'on salue."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Sophocle"Le plus souvent la bêtise est sœur de la méchanceté."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Sagesse "Le sage ne dit pas ce qu'il sait, le sot ne sait pas ce qu'il dit."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Henri Lacordaire "L'injustice appelle l'injustice ; la violence engendre la violence."
     <o:p></o:p>

    Sagesse  "Savoir que l'on sait ce que l'on sait, et savoir que l'on ne sait pas ce que l'on ne sait pas : voilà la véritable intelligence."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La Rochefoucault"Les vertus se perdent dans l'intérêt, comme les fleuves dans la mer."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Joseph Joubert "La justice est le droit du plus faible."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Voltaire "Il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Beaumarchais.  "Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     Jules Renard, "Sois modeste ! C'est le genre d'orgueil qui déplaît le moins !"<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Sully Prud'homme "La fausse modestie consiste à se mettre sur le même rang que les autres pour mieux montrer qu'on les dépasse."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    providence "Si vous sautez dans un puits, la providence n'est pas obligée d'aller vous y chercher."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La Fontaine."La raison du plus fort est toujours la meilleure."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Sagesse japonaise "Jamais on n'a raison contre son seigneur ni contre un enfant qui pleure."<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Honoré de Balzac"On respecte un homme qui se respecte lui-même."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    sagesse "Ne crains pas d'avancer lentement, crains seulement de t'arrêter."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     Veda: "Des mains semblables ne font pas toujours semblable travail."<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Condorcet :"Les amis de la vérité sont ceux qui la cherchent et non ceux qui se vantent de l'avoir trouvée."<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p>etc....</o:p>


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  • Bwajumba<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Wuma baiyo ba mipeno mitumba<o:p></o:p>

    Di ma senga mwambi na benumba<o:p></o:p>

    Bato ba ma dangwa so na kumba<o:p></o:p>

    O mabum pe milema mi mumba<o:p></o:p>

    Muñenge mwa din tik'a tumba

    Ñena ni boti dina la Bwajumba


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  • Mboa ndolo

     

    Mboa ndolo

    E titi ndando

    E tôndi muna tè

    Na mulema mwèsè

    E si bi lobango

    Ni e nde pibo

    E ma kusa nde misima

    Ka jabea la sango Loba

    Ni mboa ndolo mô

    Nde na tondi nô


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  • Mbembe na sunjumea <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    mwendi mwa Michel Epee Papa<o:p></o:p>

    Mutilabè o 18 Mayese 1956<o:p></o:p>

    Ke kamerun e si bedi kusa independance !<o:p></o:p>

     

    <o:p> </o:p>

    Ese ndutu di benno<o:p></o:p>

    O nin ponda wenge<o:p></o:p>

    Miso ma telameno<o:p></o:p>

    Nde jene di si be<o:p></o:p>

    Di yaka na mañolo<o:p></o:p>

    Di ombwa nde lo la mboa'su<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Mboa ni ta ni bene <o:p></o:p>

    Bedemo bao ba bwam<o:p></o:p>

    E timbi nde ka jene <o:p></o:p>

    O jombwane bowam<o:p></o:p>

    W'ombo te, o dimbea<o:p></o:p>

    Nje ye oa ka malea<o:p></o:p>

    Sunjuemea nde di kola<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Mbot'a moto o wase<o:p></o:p>

    E wu nde na Loba<o:p></o:p>

    Nu tese mioyo mese<o:p></o:p>

    Natena na o koba<o:p></o:p>

    Nu boli tumba tenge<o:p></o:p>

    Nje yangamen mo<o:p></o:p>

    Nje ye wenge ye pon ndedi<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Moto ongele tenge <o:p></o:p>

    Tue la bambambe<o:p></o:p>

    A numisele pe te <o:p></o:p>

    Maya ma batete (ba komno oñol'asu)<o:p></o:p>

    Me nde ma jea mbembe<o:p></o:p>

    O jene din dibumbe<o:p></o:p>

    Na dumbabe la mboa'su<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    A bana ba nin mboa<o:p></o:p>

    Nje lo m'engeleno ?<o:p></o:p>

    Ponda ñe nde na tomba<o:p></o:p>

    Nde lo ko nde iyo ?<o:p></o:p>

    Umwe lo late miano<o:p></o:p>

    Lo dimbeye mitango<o:p></o:p>

    E bia be mboa e bo !

     

     

    Mwenge : Tôndô muna sôngô ka oa mènè , o si singè mo

    kalati : le paradis tabou

    Mutiledi : Lotin' epee'a papa

    Dipapa o wase ; 183


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  • Na bia te<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> ( Si j'avais su...)</o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p> </o:p>

    Na bia te nà na nde o eno <o:p></o:p>

    Misono mwaa na mwaa, bowon ka eyonguledi !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Na bia te nà na nde o eno <o:p></o:p>

    Na myano mongo ma njonga<o:p></o:p>

    Ke na pomane o panda na oa<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    O po longo, o lee nde mbonji na masonga o eboko<o:p></o:p>

    Na mba na kasa oa na mulema mo <o:p></o:p>

    Ke sena o ma pula nde o mitele mba<o:p></o:p>

    Dimbambe lam, bosedi bwam<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Na bia te nà na nde o eno <o:p></o:p>

    A dikom la mawondo <o:p></o:p>

    Ke na pomane o panda na oa<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Oa nà na si topo pe bwambo bwa bambambe<o:p></o:p>

    Na si sa pe mangando ma bambambe <o:p></o:p>

    Na dimbeye babo, na duteye nde ka oa<o:p></o:p>

    Na si bola pe manda mam edube<o:p></o:p>

    Na tobe mba mene, na timbe nde ka oa<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Booo !!!<o:p></o:p>

    Na bia te nà na nde o eno<o:p></o:p>

    Jombwe pe di si ma sele to buña <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nde wenge, na soi oa<o:p></o:p>

    Son, ala, poto na mba.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p> </o:p>

    © Bolo o boso, Colad, dipapa 73, sango Elimbi.

    Dédidace de ce poème à sango Lotin’Epee

    Masoma na Tete Ebel’a wei oñola nje yese di okwisabeno na bwambo bwasu bwa Duala, na welisane lese, y’ebolo e tate ya bepuma ba bwam, na ndol’a Ñambe.


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  • Chante fable - Jeux de mots<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le Duala étant une langue tonale, on a la possibilité de faire des phrases concrètes juste en faisant varier les tons.

     

    <o:p></o:p> 

    Má maá mabaá má mamá má ma mamá mân mabómbá<o:p></o:p>

    Ces deux mains de maman soulèvent ces paquets. <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    O mipe te da, o si wele ndóngó ndongó ebanja ñango Ndóngo a si tondi ndóngó ndongó<o:p></o:p>

    Quand tu cuisines, ne mets pas trop de piment car madame Ndongo  n’aime beaucoup le piment. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p>

    A Lóngó lóngó lóngō na lóngó lóngō la mulóngó <o:p></o:p>

    Chèr Lóngo chante toi,  avec tes marmites de rotin<o:p></o:p>

    </o:p>

     

    <o:p> </o:p>

    Din dina di ni duna<o:p></o:p>

    Ce nom est entrain de vieillir

     

    Etc. Allez, à toi...


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  • Mawasa ma Roma<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     (Les jumeaux de Rome)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mawasa me nde bana baba<o:p></o:p>

    Be na ba yabe mwemba<o:p></o:p>

    (Les jumeaux sont deux enfants, nés ensembles)<o:p> </o:p>

    A mawasa ma boki Roma <o:p></o:p>

    Na mpuli mwa maloba<o:p></o:p>

    (Les jumeaux qui ont fondé Rome, par volonté divine)<o:p> </o:p>

     Ba poi buña mene<o:p></o:p>

    Na babo b’ulisabe<o:p></o:p>

    (Sont arrivés un jour, et ont été nourri, à satiété)<o:p> </o:p>

    Na nja e ? Nde na nja e ?<o:p></o:p>

    Na ñama ! <o:p></o:p>

    Na nja so e ? Nde na nja so e ?<o:p></o:p>

    Na modi mwa ñama !<o:p></o:p>

    (Par qui ? mais par qui donc ? une bête, un animal !)<o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    Babo bana ba kie ? <o:p></o:p>

    Babo mbela bato indene ?<o:p></o:p>

    (Eux les fils du roi ? Eux si honorables ?)<o:p> </o:p>

    Ee ! Na mbale, Iyo a ta mba mbo e !<o:p></o:p>

    B’ulisabe nde na ñama e !<o:p></o:p>

    (Oui ! Vraiment, ma mère m’est témoin, ils ont été nourris par un animal !)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Poésie en Duala, mutibe, myango ma mawasa  ©.


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  • Malèndè ma ma jola ngoso


     Hm Hm ou ou Hm

     

    Malèndè ma ma jola ngoso e !

    A ngoso o, yuwa mbia oh na'a da !

     

    Malèndè ma ma jola ngoso e !

    A ngoso ngoso yuwa mbia o, na'a ño !

     

    Malèndè ma ma jola ngoso e !

    Hm Hm ou ou Hm

     

    Malèndè ma ma jola ngoso e !

    A ngoso o, yuwa mbia,  na'a da !

    Malèndè ma ma jola ngoso e !


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  •  

  •  

    O bè tè  …<o:p></o:p>

    Si tu étais….<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Môdi : Elaè <o:p></o:p>

    (un mois : décembre)  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Musônô : Bulu ka dibobè<o:p></o:p>

    (une couleur : le bleu comme le ciel)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Musiki : Esèwè<o:p></o:p>

    (une musique : l’esèwè)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mbôti : Kaba<o:p></o:p>

    (un vêtement : le kaba)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Da : Ndolè<o:p></o:p>

    (un repas : le ndolè)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sue : Njang’a musaa<o:p></o:p>

    (un animal aquatique : la crevette, camarones, le cameroun)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Inôn : Mbela<o:p></o:p>

    (un oiseau : l'aigle)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Bwambo : Duala<o:p></o:p>

    (une langue : le Douala)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ekombo : Paradisi, Dikolo<o:p></o:p>

    (un pays : le paradis)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ponda :  Mesanedi<o:p></o:p>

    (un moment de la journée : l'aube)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Epolo : Ndabo'a Tetè<o:p></o:p>

    (un lieu : la Maison du Père)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ebongo : Tin'a njabi<o:p></o:p>

    (un végétal : l'olivier)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dina : Esangi<o:p></o:p>

    (un nom : Pureté)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ebèyedi : titimbè<o:p></o:p>

    (une attitude : la persévérance)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Môpi : môpi ma moñ<o:p></o:p>

    (un fleuve : le fleuve du Ciel)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

     <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Na oa pè...<o:p></o:p>

    et toi alors...<o:p></o:p>


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  • E moñ moñ

    E moñ moñ<object%20width=" height="179" 200?>

     

    E moñ o , o be !

     

    E moñ o , o be !

     

    E moñ o , o be !

     

    E moñ o , o be !

     


     

    Nja nu kwali na a pedi e ?

     

    Eya manjanjan° mbele

     

    Nja nu kwali na a pedi e ?

     

    Eya manjanjan° mbele

     


     

     

    Je muñenge iyo

    Je muñenge iyo

    Bito nde ba sèlè jènè yesu e,

    Je muñenge e!

     

     

    A mapata ma ngoso oh ?

    Malong ma kwang

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p></o:p> 


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  • Nyambe a m'oba sanza o weka bonabato

     

    La falsa nota di Nyambe

     

    Una fiaba musicale tratta da «La sanza africana» di Francis Bebey.
    Una mattina in cui la Noia non dava tregua a Nyambé, il Creatore dei Bantu, l'Immaginazione gli suggerì di costruirsi una Sanza. E Nyambé suonò, cantò e ballò con grande felicità. Tradizionalmente molti popoli dell'Africa desiderano rievocare la saggezza dei loro antenati a proprio beneficio e trasmetterla alle generazioni future: ciò vale anche per i Bantu (etnia dell'Africa centrale e popolo di migranti) dalla cui tradizione orale è tratto questo racconto. L'Associazione Kin Koba - Voci Lontane ha ideato e desiderato realizzare il progetto di questo libro con CD, per proseguire e diffondere la tradizione narrativa e musicale, creando uno strumento didattico, fruibile anche da un pubblico adulto.
     


    Francis Bebey : Comment Dieu créa le monde en jouant de la Sanza



    Au début, il n’y avait rien. Ni lumière, ni obscurité. Rien, à part une petite chose, c’était l’ennui. Nyambé, le créateur des Bantous, c’est-à-dire des êtres humains- car vous savez que le mot bantou s’applique à tous les êtres humains, quelle que soit la couleur de leur peau-
    Nyambé s’ennuyait à mourir.

    Un matin où il s’ennuyait particulièrement, il se gratta la tête avec un doigt, en s’écriant « Bon dieu, bon Dieu, il va me tuer, cet ennui, s’il continue de la sorte ! »

    C’était Dieu lui-même qui parlait ainsi.

    Ce qu’il ne savait pas, c’était qu’à l’endroit même où il se grattait la tête, à l’intérieur de son crâne, il y avait l’Imagination qui dormait tranquillement. Son doigt réveille l’Imagination. Dieu l’entend qui s’éveille en bâillant... il se sent fautif : « oh ! pardon, pardon ! Imagination. Je n’avais pas l’intention de te réveiller, tu sais... »
    L’Imagination est une dame très gentille.

    Toute souriante, elle dit à Nyambé : « Ne t’en fais pas, Seigneur. Tu sais que tout ce qui vient de toi est bienvenu. N’es-tu pas le créateur de toute chose ? » Ce en quoi elle se trompait, car Dieu n’avait encore rien créé, puisque je vous disais tout à l’heure qu’au début il n’y avait rien. Ni lumière, ni obscurité. Rien, mis à part l’ennui.

    Malgré tout, Nyambé rassuré par cette réponse, se dit qu’il pourrait peut-être parler de ses problèmes à Imagination. « Ne me dis pas que tu as des problèmes, toi aussi ! Tu as des problèmes, toi, le créateur de toute chose ? »
    Dieu n’est pas content de cette remarque. Furieux, il dit à Imagination :
    « Ecoute, je ne t’ai jamais permis de te moquer de moi ! Tous les gens ont des problèmes en ce monde. Pourquoi donc n’aurais-je pas le droit d’en avoir, moi aussi ? »
    Devant la colère de son Seigneur, l’Imagination se fait toute petite, toute petite, et sort se promener dans le jardin.

    Vous avez entendu parler de ce jardin ; vous savez qu’un jour il s’y passa quelque chose entre un serpent, une femme nue et une pomme. Après quelques minutes de promenade, l’imagination revient et demande à Nyambé : « Au fait, Seigneur, quel est donc ton problème ? » Dieu lui répond :
    « Mon problème, c’est l’ennui. Il va me tuer, cet ennui, s’il continue ainsi. Mais gare à toi, car s’il me tue, il te tuera aussi. Tu sais bien que tu ne peux pas vivre sans moi, n’est-ce pas ? »
    L’Imagination se dit : « Pour un problème, c’en est un. Mais je vais lui trouver une solution. Et en effet, après quelques moments de réflexion , elle annonce :
    « Seigneur, voici la solution à ton problème : fabrique-toi une sanza . Tu verras, dès que tu commenceras d’en jouer, l’ennui s’en ira de lui-même. »

    « Est-ce vrai ce que tu me dis là ? »- « Bien sûr que c’est vrai ! tu es mon Créateur, je ne peux donc pas te mentir, Seigneur ! »
    Alors Dieu construisit une sanza et se mit à en jouer. Et pour la première fois de sa longue existence, il entendit de la musique. Il trouva la chose absolument merveilleuse et se mit à danser, à chanter, et à danser de bonheur sur les rythmes qu’il jouait lui-même. Il était très heureux. Et tout à sa joie, il ne faisait point attention à ce qui se passait autour de lui. Or bien des choses commencèrent à passer autour de lui, par la puissance créatrice de sa sanza : la musique créa le soleil, puis la lune, puis le village, et puis un autre village, et puis un sentier pour relier les deux villages. Puis le pays fut créé, puis le continent, puis d’autres continents...

    Le monde était en train d’être créé. Et Dieu continuait de danser sans souci.

    Mais soudain, il joua une fausse note sur sa sanza, et l’homme fut créé, aussitôt suivi par sa femme. Et derrière la femme, des dizaines de millions d’enfants de toutes les couleurs se mirent à sortir de la sanza.

    Non seulement des blancs, des noirs, des rouges et des jaunes, mais aussi des bleus, des verts, des gris, des violets, de toutes les couleurs, qui allèrent peupler la Terre : en Asie, en Afrique, en Europe, en Amérique, en Australie, partout, partout. Et ils sortaient de la sanza, l’un après l’autre, sans distinction, sans ségrégation, sans racisme aucun, au grand étonnement et au ravissement de Dieu.

    Vous comprenez à présent pourquoi nous, Bantous d’Afrique, nous ne tenons jamais compte de la couleur de la peau de nos visiteurs : car nous savons, depuis les premiers temps de la vie, que tous les hommes sont nés de la même sanza.

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  • Mundo na Sanga

    Ba titina ba pena

    Sanga o Sanga

    Bowinda o Bowinda

    Moto tè a bèn nyonga nupèpè

     

    Manu Dibango, Duala, Kamerun


    Mboa ñe nde mboa na tè na o bwindea e

    To o bè nde o ngea ongèlè mbo'ango o o o

    Ebanja na wuba e i ma longo o mwen'ekombo e

    Ongèlè so mbo'ango e , na mbia mongo e

    O si dimbea e, o sengi na nje e ?


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  • Inoni

    Inoni :

     O mbasan mwa pombi

                                                               Inon i longi...

           O mbasan mwa pombi

                Inon i longi ...

     

    Inoni o bepumwedi...

     Inoni o bepumwedi ...

    Inoni o bepumwedi ...

    Inon i longi !

    Près de la fontaine, un oiseau chanta, un oiseau à la volette, un oiseau chanta.


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  • Olo Iyo

    Olo Iyo :

    Olo iyo oh , Olo iyo oh<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Olo iyo oh, Olo iyo oh

    Olo iyo we e e , Olo iyo oh<o:p></o:p>

    Olo iyo oh oh oh , Olo iyo oh<o:p></o:p>

    Une berceuse Duala " target=_new> <o:p></o:p>

    A muna o s'eya pe<o:p></o:p>

    A muna oh<o:p></o:p>

    O s'eya pe <o:p></o:p>

    Oa pe o mende koka ka biso<o:p></o:p>

    O ala 'bolo<o:p></o:p>

    O wasa moni<o:p></o:p>

    Oa pe o mende koka ka biso<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Teme natee<o:p></o:p>

    Teme natee papa po<o:p></o:p>

    A bwea oa wuba<o:p></o:p>

    Teme natee papa po<o:p></o:p>

    A bwea oa wuba<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Iyo na bana

    Iyo : A bana bam ooooooooh !<o:p></o:p>

    Bana : Eeeeeeeeeeeee<o:p></o:p>

    Iyo : Biño ya !<o:p></o:p>

    Bana : Kem ! Njo ni'e o ngea<o:p></o:p>

    Iyo : Biño keka so na lo tombe !

     

    <o:p></o:p>

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  • Na ma senga bobe

    Na ma senga bobe :

     

    Mama oh ... Na ma senga bobe !

    Mama oh  ... Na ma senga bobe !

    Tobotobo...

    Yeye oh ... Na ma senga bobe !

    Iyo oh  ... Na ma senga bobe !

    Nja nu bi ? Nja nu ta ?

    Mama oh ... Na ma senga bobe !

    Mama oh  ... Na ma senga bobe !

    Tobotobo...

    Maman, je suis éprouvée, Maman, je suis vraiment éprouvée, qui sais ? Maman, je suis éprouvée, Maman, je suis vraiment éprouvée.

     


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  • Mama Afrika

    MAMA


    Mama oh ! Na tondi oa e !

    Na ma lele nde oa

    Ebanja na o ben bwam na nika

    Na bi na weya'ngo ña ndolo e m'olo mba

    A mama oh ! Na tondi oa bebe bese !
     

    Afrika... Mama

    Mama oh ! Na tondi oa e

    To moto a poto ne

    A biño le na lo titi bebe na bandolo bañu

    lo m'ongele nde mboa e


    Afrika nu yai mba ...

    Na tondi oa


    Mulema mwam mu benebe nde na oa !

    Mama e nde mama nate o bwindea

    Mama oh ! Mama Afrika oh !

    Na tondi oa na mulema mwese !



          ¡¡¡   AFRIKA   !!!      

     


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  • Musaedi na Bana bao

    Musaedi na Bana bao<o:p></o:p>

    Le Laboureur et ses Enfants


    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Travaillez, prenez de la peine : C'est le fond qui manque le moins...<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Biño bola ebolo, nongo ntu : bebenedi be  titi pasa.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Musaedi ña mbwa, nu ta bebe na kwedi<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    A kotele bana bao, a kwalisane babo, esibe mbo

     <o:p></o:p>

    Mo na : Biño lo s’andise embamba<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Bambambe ba dieleno biso <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Tiki e wutam o ten<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Na si bi o weni, nde son’ a ngiña mulema<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    E ma soise biño mo, lo mende pone mo o su<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Biño sa monda mwañu , Dingindi di tombi te<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Biño pula, wasa, pawa , lo s’esele to wuma<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    O weni dia di si ma tombano<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Sango a wedino, bana ba sai monda<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    O wan, o won, wuma yese, oñola nika o su la mbu<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Njoasoa muse ni’enene<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Moni mu si ta mu wutame to wuma. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Nde tete a ta dibie<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    O lee babo biana a ma wo<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Na ebolo nde ye lambo la tiki<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Yohane , Jean De LA FONTAINE (1621-1695)
    (Recueil : Les Fables) Tombele na Lily ©<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     


     

    Travaillez, prenez de la peine :
    C'est le fonds qui manque le moins.
    Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
    Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
    Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage
    Que nous ont laissé nos parents.
    Un trésor est caché dedans.
    Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage
    Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
    Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'Oût.
    Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
    Où la main ne passe et repasse.
    Le père mort, les fils vous retournent le champ
    Deçà, delà, partout ; si bien qu'au bout de l'an
    Il en rapporta davantage.
    D'argent, point de caché. Mais le père fut sage
    De leur montrer avant sa mort
    Que le travail est un trésor.


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