• <o:p></o:p>

    BWAMBO : la langue

    Ebambu' a mongo<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

     

    <o:p>langue : bwambo, myambo, mubosi, eyeme, byeme, leme, etopedi, ekwali, ekwala, elangwedi, mulango. </o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·       Bwambo Ba Duala bo wu nde we e ?<o:p></o:p>

    ·       Duala na Egipto<o:p></o:p>

    ·       Madumwale

    ·      Bwambo bwa Duala : tik'a bwambo !

    ·  L'expression Mba na e

    ·       Dérivés de langues<o:p></o:p>

    ·       Myambo ma mbombo<o:p></o:p>

    ·       Bebalè o bèn ba myambo<o:p></o:p>

    ·       Ponda <o:p></o:p>

    ·       Jabane la ponda <o:p></o:p>

    ·       Kalenda : minya, myodi, mimbu

    ·       Mina ma madiba<o:p></o:p>

    ·       Misono : les couleurs  <o:p></o:p>

    ·       Bato : neni ba ma beleno bato o mboa

    ·       Mboti

    ·       Jumwe la mboa

    <o:p></o:p> 

     

     

     
     

     

    Les femmes africaines luttent contre la pauvreté        


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  • Wala la musombo : en allant à la pêche

     

    Mpome :

    Elolonge :

    Mpome :

    Sopi :

    Elolonge :

    Mpome :

    Elolonge :

    Mpome :

    Elolonge :

    Sopi :

    Mpome :

    Elolonge :

    Mpome :

    Elolonge :

    Sopi :

    Mpome :

    Sopi :

    Elolonge :

    Sopi :

     


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  • Conjugaison : le verbe reste identique, les personnes changent, quelque soit le temps ou le groupe du verbe.

     

    Be na bene : être et avoir au présent.

     

    Be : être

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Usuel</o:p>

    Formel

    Traduction

    n' e  <o:p></o:p>

    na e<o:p></o:p>

    je suis

    we  

     o e

    tu es

    e<o:p></o:p>

    a e<o:p></o:p>

    il ou elle est

    je<o:p></o:p>

    di e<o:p></o:p>

    nous sommes

    l' e<o:p></o:p>

    lo e<o:p></o:p>

    vous êtes

    b' e<o:p></o:p>

    ba e

    ils ou elles sont

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>Bene : avoir</o:p>

    <o:p>

    <o:p>Usuel</o:p>

    Formel

    Traduction

    na ben

    na beni <o:p></o:p>

    j'ai

    o be

    o beni 

    tu as

    a be

    a beni 

    il ou elle a

    di be

    di beni <o:p></o:p>

    nous avons

    lo be

    lo beni <o:p></o:p>

    vous avez

    ba be

     ba beni 

    ils ou elles ont

    </o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p> 


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  • - Pancake -


     

    FINNISH CRÊPES

    Finnish crêpes Traditional Finnish crêpes are small  —  about 8 cm in diameter  —  and thin. This batter is also suitable for frying bigger thin crêpes, with lacy edges.

    500 ml milk
    2 eggs
    ½ tsp salt
    50 g butter
    about 250 ml flour

    Melt the butter and let it cool. Whisk the eggs and the salt in the milk. Add the flour little at a time, whisking continually. Finally add the melted butter. Cover the batter and let it stand for at least 1 hour.

    Heat a pancake skillet (with 4 or more small rounds) until very hot. Generously butter the skillet and pour the first batch of the crêpe batter in the rounds. Fry until the bubbles on the batter surface begin to set and flip the crêpes over.

    Fry the crêpes until they are golden brown, although the first batch, as with any batter, usually turns out bad. Continue frying with the rest of the batter. The butter in the batter helps to prevent the crêpes from sticking on the skillet.

    Crêpe with butter and sugar Crêpes with jam and berries Serve the crêpes piping hot with sweet or savoury topping  —  or filling, if frying bigger crêpes.

    Finnish crêpes are usually served as a dessert with jam, fresh berries or fruit, ice cream, whipped cream, molasses etc (see the picture on left). But I prefer them just spread with a little butter and sprinkled with sugar (see the picture on right).

    Marianna.gourmet.com


    CRÊPES GARNIES

     

    Pour 5 personnes.

    Il te faut :

    • 500g de farine
    • 4 oeufs
    • 1 litre de lait
    • 2 cuillères à soupe d'huile ou de beurre fondu
    • 1 pincée de sel
    • de l'huile pour la cuisson

    Et aussi une petite poêle, une spatule, une jatte et une louche.

    Commence deux heures avant le repas à faire la pâte, dans la jatte, mélange la farine, le sel, les oeufs, le lait et l'huile. Laisse reposer une heure à température ambiante. Conseil : recouvre la jatte d'un torchon.

    Fais cuire tes crêpes au fur et à mesure des demandes sinon, elles seront froides au moment de les servir.

    Astuce : entoure une fourchette de papier essuie-tout et trempe la dans un bol avec un peu d'huile, ça t'éviteras de te brûler en faisant cuire tes crêpes car il faut remettre de l'huile dans ta poêle à chaque crêpe.

    Chloé Laurent


    CRÊPES EN IMAGES

     

     

     

     

    Crêpes au thon, jeunesdumaroc.com

     

    Crêpes aux fraises, panoramahof.de 


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  •  

    La falsa nota di Nyambe

     

    Una fiaba musicale tratta da «La sanza africana» di Francis Bebey.
    Una mattina in cui la Noia non dava tregua a Nyambé, il Creatore dei Bantu, l'Immaginazione gli suggerì di costruirsi una Sanza. E Nyambé suonò, cantò e ballò con grande felicità. Tradizionalmente molti popoli dell'Africa desiderano rievocare la saggezza dei loro antenati a proprio beneficio e trasmetterla alle generazioni future: ciò vale anche per i Bantu (etnia dell'Africa centrale e popolo di migranti) dalla cui tradizione orale è tratto questo racconto. L'Associazione Kin Koba - Voci Lontane ha ideato e desiderato realizzare il progetto di questo libro con CD, per proseguire e diffondere la tradizione narrativa e musicale, creando uno strumento didattico, fruibile anche da un pubblico adulto.
     


    Francis Bebey : Comment Dieu créa le monde en jouant de la Sanza



    Au début, il n’y avait rien. Ni lumière, ni obscurité. Rien, à part une petite chose, c’était l’ennui. Nyambé, le créateur des Bantous, c’est-à-dire des êtres humains- car vous savez que le mot bantou s’applique à tous les êtres humains, quelle que soit la couleur de leur peau-
    Nyambé s’ennuyait à mourir.

    Un matin où il s’ennuyait particulièrement, il se gratta la tête avec un doigt, en s’écriant « Bon dieu, bon Dieu, il va me tuer, cet ennui, s’il continue de la sorte ! »

    C’était Dieu lui-même qui parlait ainsi.

    Ce qu’il ne savait pas, c’était qu’à l’endroit même où il se grattait la tête, à l’intérieur de son crâne, il y avait l’Imagination qui dormait tranquillement. Son doigt réveille l’Imagination. Dieu l’entend qui s’éveille en bâillant... il se sent fautif : « oh ! pardon, pardon ! Imagination. Je n’avais pas l’intention de te réveiller, tu sais... »
    L’Imagination est une dame très gentille.

    Toute souriante, elle dit à Nyambé : « Ne t’en fais pas, Seigneur. Tu sais que tout ce qui vient de toi est bienvenu. N’es-tu pas le créateur de toute chose ? » Ce en quoi elle se trompait, car Dieu n’avait encore rien créé, puisque je vous disais tout à l’heure qu’au début il n’y avait rien. Ni lumière, ni obscurité. Rien, mis à part l’ennui.

    Malgré tout, Nyambé rassuré par cette réponse, se dit qu’il pourrait peut-être parler de ses problèmes à Imagination. « Ne me dis pas que tu as des problèmes, toi aussi ! Tu as des problèmes, toi, le créateur de toute chose ? »
    Dieu n’est pas content de cette remarque. Furieux, il dit à Imagination :
    « Ecoute, je ne t’ai jamais permis de te moquer de moi ! Tous les gens ont des problèmes en ce monde. Pourquoi donc n’aurais-je pas le droit d’en avoir, moi aussi ? »
    Devant la colère de son Seigneur, l’Imagination se fait toute petite, toute petite, et sort se promener dans le jardin.

    Vous avez entendu parler de ce jardin ; vous savez qu’un jour il s’y passa quelque chose entre un serpent, une femme nue et une pomme. Après quelques minutes de promenade, l’imagination revient et demande à Nyambé : « Au fait, Seigneur, quel est donc ton problème ? » Dieu lui répond :
    « Mon problème, c’est l’ennui. Il va me tuer, cet ennui, s’il continue ainsi. Mais gare à toi, car s’il me tue, il te tuera aussi. Tu sais bien que tu ne peux pas vivre sans moi, n’est-ce pas ? »
    L’Imagination se dit : « Pour un problème, c’en est un. Mais je vais lui trouver une solution. Et en effet, après quelques moments de réflexion , elle annonce :
    « Seigneur, voici la solution à ton problème : fabrique-toi une sanza . Tu verras, dès que tu commenceras d’en jouer, l’ennui s’en ira de lui-même. »

    « Est-ce vrai ce que tu me dis là ? »- « Bien sûr que c’est vrai ! tu es mon Créateur, je ne peux donc pas te mentir, Seigneur ! »
    Alors Dieu construisit une sanza et se mit à en jouer. Et pour la première fois de sa longue existence, il entendit de la musique. Il trouva la chose absolument merveilleuse et se mit à danser, à chanter, et à danser de bonheur sur les rythmes qu’il jouait lui-même. Il était très heureux. Et tout à sa joie, il ne faisait point attention à ce qui se passait autour de lui. Or bien des choses commencèrent à passer autour de lui, par la puissance créatrice de sa sanza : la musique créa le soleil, puis la lune, puis le village, et puis un autre village, et puis un sentier pour relier les deux villages. Puis le pays fut créé, puis le continent, puis d’autres continents...

    Le monde était en train d’être créé. Et Dieu continuait de danser sans souci.

    Mais soudain, il joua une fausse note sur sa sanza, et l’homme fut créé, aussitôt suivi par sa femme. Et derrière la femme, des dizaines de millions d’enfants de toutes les couleurs se mirent à sortir de la sanza.

    Non seulement des blancs, des noirs, des rouges et des jaunes, mais aussi des bleus, des verts, des gris, des violets, de toutes les couleurs, qui allèrent peupler la Terre : en Asie, en Afrique, en Europe, en Amérique, en Australie, partout, partout. Et ils sortaient de la sanza, l’un après l’autre, sans distinction, sans ségrégation, sans racisme aucun, au grand étonnement et au ravissement de Dieu.

    Vous comprenez à présent pourquoi nous, Bantous d’Afrique, nous ne tenons jamais compte de la couleur de la peau de nos visiteurs : car nous savons, depuis les premiers temps de la vie, que tous les hommes sont nés de la même sanza.

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